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Monday, September 24, 2012

LEO MALLET et mon pote PASCAL MOIZO

LEO MALLET et mon pote PASCAL MOIZO.

A propos du : DERNIER TRAIN D'AUSTERLITZ.

NOTE DE L'AUTEUR:
Contrairement a la formule habituelle, tous les personnages de cette histoire ne sont pas fictifs,_et que Dieu, ou le Diable, reconnaisse les siens.
Veuille toutefois le lecteur me faire l'honneur de compter parmi les personnages de ce recit invente de toutes pieces, celui de Philippe Gronard, en lequel la plus execrable foi, seule, pourrait voir le symbole de la corporation des editeurs.

L'auteur tient a apporter ici son temoignage que l'editeur  du Dernier Train d'Austerlitz, par exemple,
outre qu'il s'est montre homme de gout en acceptant cette oeuvre, est un personnage charmant.

L.M.


Léon Malet, dit Léo Malet, né le 7 mars 1909 à Montpellier et mort le 3 mars 1996 a Chatillon sous Bagneux, est un ecrivain francais.
Il a écrit sous différents pseudonymes : Frank Harding, Léo Latimer, Lionel Doucet, Jean de Selneuves, Noël Letam, Omer Refreger, Louis Refreger et, en association avec les écrivains Serge Arcouet et Pierre Ayraud sous le pseudonyme collectif de John-Silver Lee.

Léo Malet, autodidacte commence comme chansonnier à Montmartre en 1925. La même année, il se rend à Montpellier où Andre Colomer est présent pour traiter du thème : « Deux monstres, Dieu et la Patrie, ravagent l'humanité ». C'est là que Colomer va influencer Malet, bouleversé par son tempérament fiévreux, sur la voie libertaire. Il s'ensuit une correspondance.
À son arrivée à Paris en 1925, il fréquente les milieux anarchistes, dont le foyer vegetalien de la rue de Tolbiac qu'il décrivit plus tard dans plusieurs romans. Il effectue ensuite différents petits boulots : employé de bureau, manœuvre, journaliste occasionnel (En dehors, L'insurgé, Journal de l'Homme aux Sandales, la Revue Anarchiste, etc.), « nègre », gérant de magasin de mode, figurant de cinema, crieur de journaux, emballeur (chez Hachette). Il parodie la litterature policiere anglo-saxonne sous de multiples pseudonymes.
Il écrit de la poesie, appartenant de 1930 à 1949 au groupe surrealiste. Il milite brièvement avec Benjamin Peret au parti trotskyste POI (parti ouvrier international) de 1936 à 1939, de nombreux surréalistes étant alors proches du trotskisme.
Mais c'est en 1942 qu'il se met au roman policier avec 120, rue de la Gare, mettant en scène un détective dont on allait parler : Nestor Burma. Dans la série, commencée en 1954, des Nouveaux Mysteres de Paris, où chaque énigme a pour décor un arrondissement de la capitale, il se montre un peintre remarquable de la ville, de son atmosphère et de ses secrets...




Cher Ami,
Voici deux images
scannees d'une planche contacte
les negatifs ayant disparus depuis des lustres.
Replongeant ainsi mes souvenirs dans
les archives de notre
memoire, je cherche un
passage discret, une transition
historique, a ces moments
exceptionnels....
a suivre sur le blog




Il existe un rapport tres etroit entre ces deux images et la couverture du livre de Leo Mallet.
Nous sommes sur le pont d'Austerlitz avec mon ami Moizo, apres une nuit blanche , et nous avons vu partir le Dernier Train d'austerlitz, car nous etions a l'epoque de puissants nostalgiques des Gares et des stations de Metro. Quelques 30 annees plus tard mon pote Moizo devait m'envoyer une edition
originale du Livre de Leo Mallet , edition de 1948.













En remontant le temps et le cours de nos pas, sur cette meme planche contacte nous voici assis dans le Jardin des Plantes fraichement ouvert au Public, des images espaces temps, avec ce decors grandiose au petit matin des allees et du Palais de l'Archeologie en fond de cadre...simplement envoutant...les grimaces font le reste, mais la lumiere, cette lumiere qui a pour moi une odeur, je dirai presque un parfum, un peu comme celui que je retrouve ici lorque je sors du boulot en Septembre, entre chien et loup....
il y a la quelquechose d'ennivrant, de profondement nostalgique, et intensement vivant...je continue mes recherches pour trouver la date...as tu une idee ?


Soudain me reviens en memoire une image d'Archives de l'enfance de notre ami Alain Gueguen, il a moins de 5 ans sur l'image, c'est au debut des annees 60, presque la meme lumiere.



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