Since 1977

Since 1977, I have written more than 300 000 kilometers of words, that is to say put end to end, one way trip from Earth to the Moon. Or a second to light for this trip. A second light words in 30 years, some 3 billion signs.

Saturday, December 10, 2011

BARDHAL FERRARI EXPERIMENTAL 1956


1956 FERRARI KURTIS 500D



This Kurtis 500D roadster was made in Glendale, California in 1955, but it went to Indianapolis the long way ---through Italy. The Italian affiliate of engine additive company Bardahl bought the car in almost complete form, less an engine. It was shipped to Italy, where Ferrari was to install a 4.4 liter, 6 cylinder engine like those used in Ferrari's 121LM Sports cars. The engines proved to be fast, but unreliable, often shearing their flywheel bolts because of their massive power. Giuseppe Farina, the 1950 Grand Prix World Champion, was at the end of his career and wanted to cap it off with a try at Indianapolis.

In 1955, Ferrari was overwhelmed by Mercedes, in both Grand Prix and sports car racing. They announced that the Bardahl Kurtis would not be ready for Indy because of the time it took to create a new transmission case and gears to adapt the Ferrari motor to the special Offenhauser three-speed gearbox that came with the car.

After Ferrari lost interest, the Kurtis was farmed out to the Maserati brothers in early 1956. At that point, they were running OSCA in Bologna, a ;manufacturer of small capacity sports racing cars. The Maseratis finished the Kurtis and it came to Indianapolis in 1956, with Farina still the assigned driver. Although he had tested the car on the high banking at Monza, Farina was unfamiliar with the Indy oval and, once there, time ran out before he got up to speed. The proud Italian was offended after he could only lap the Speedway at 134mph, when an unknown, Earl Motter, took the car around at 136. The slowest qualifier that year averaged 139, and the Kurtis Ferrari was not seen at the Speedway again.

Years later, Luigi Chinette, Jr. found the car in Switzerland and returned it to the United States. He engaged Francois Sicord, who restored it over a number of years. The Kurtis-Ferrari was an interesting concept and with proper development might well have been a contender.


Tuesday, November 15, 2011

LE PRINCIPE DE LA LISTE

Comme des phases absurdes lues dans un livre, les phrases de listes de choses a faire sont comme des aphorismes du quotidien qui donnent a la fin une idee plus large des choses faites ou non!

Le principe aphoriste de la liste des choses a faire est un principe de definition du remplissage de l'espace des lignes sur le papier et du vidage de stylos.

Sur ce blog aujourd'hui, j'ai eu l'idee de mettre des choses d'hier,dans un espace museal, des choses qui ont a voire avec mes experiences  passees, comme si elles etaient fraiches d'hier.

En octobre j'ai installe dans ma salle de bain, des collections de magazine d'art, des revues de mode et de photographie, des magazines de bandes dessinees, de Spirou a Metal Hurlant, de Tintin a Pilote, de Charlie A Asuivre, des revues de Cinema et des encyclopedies Tarbout ou Tout l'Univers.



Voici des aphorismes de choses a faire, de choses a dire, de choses a penser. Nous voici au coeur des choses a finir et d'autres toutes nouvelles a commencer.

Friday, October 7, 2011

HERGE. Quick et Flupke Inedits.

Voici quelques planches inedites de Quick et Flupke. Elles n'ont jamais ete edites pour des raisons politiquement correcte ou bien sous une forme d'auto censure d'Herge lui-meme.
Je les presente ici parce qu'il est beaucoup question de Tintin et de ses aventures au Cinema, et aussi parcequ'il est toujours interessant de devoiler les cotes profonds et l'origine de l'inspiration historique de certains dessinateurs de BD.














Saturday, October 1, 2011

SHANA TOVA



Shana tova
Bonne annee a tous, pleine de bonheur et de sante , de reussite, de creativite, de paix et d'air frais.
Dessin d'ELLA FHIMA, tous droits reserves selon la formule consacree.

Saturday, September 17, 2011

BIM LE PETIT ANE

Bim the Little Donkey. Film de 1950. Realisateur: Albert Lamorisse.

An Arab boy, Abdullah, loves his donkey, Bim, but another boy, Massoud, who also happens to be a prince, is jealous of Abdullah and his relationship with Bim, so Massoud steals the donkey and plays mean tricks on him, such as painting him and trying to cut his ears off. Abdullah tries to rescue Bim but is caught by palace guards and is imprisoned. Realizing Abdullah's love for his donkey, Massoud becomes ashamed of his meanness and frees Bim and Abdullah. However, the donkey eats Massoud's father's lunch and is taken to a butcher. Abdullah and Massoud try to rescue Bim from the butcher, but robbers get there first and steal the donkey along with the butcher's goods. The robbers escape to the sea, and Abdullah and Massoud stage one last rescue attempt with all of their friends to try to save Bim. 











































 Il ya tres longtemps, dans une ville d'un pays d'orient, vivait Bim, le plus beau de tous les anes, ainsi que son maitre Abdallah, un jeune garcon tres pauvre.
Ils s'aimaient plus que tout au monde, mais Messaoud le fils du Caid de l'ile, a decide de s'approprier Bim, et il l'arrache a Abdallah.
reussiront-ils a survivre aux nombreuses aventures qui les attendent?
Ce merveilleux conte est egalement l'occasion unique de retrouver la voix de Jacques Prevert, conteur de cette histoire etonnante.

Bim le petit ane, film d'Albert Lamorisse de 45 minutes
en noir et blanc de 1950. 









 





Thursday, September 8, 2011

LE GRAND PAVOIS

THE GREAT FLAG

 

Je travaille sur les drapeaux d’aujourd’hui et d'hier.

A travers le temps les drapeaux changent.
Je ne me concentre pas en particulier sur un continent ou une époque.
Je prends ce qui viens.
Mais avant tout je cherche pour quelles raisons le drapeau a changé.
Sur ce qui fait signe dans notre mental.
C’est un élément fortement historique.




Drapeau : Carré d' étoffe, de drapel: drap. Porté au bout d' une pique ou d' une lance comme emblème d'une nation. Le drapeau a une origine militaire.Il fut avant tout un signe de ralliement sur les champs de bataille. 



Aussi je suis historien, et j'ai des tas de choses à raconter sur chaque drapeau. Mais je reste dans une démarche artistique.
Je m'intéresse à la signification de chacun. J'ai tendance a devenir un peu spécialiste par goût.
Cela soulève des confrontations de sémantiques, comme par exemple l'interprétation d'une couleur ou d'un signe selon deux cultures. 




Les règles fondamentales que je me suis impose dans mes recherches, c’est tout d ' abord  le respect des proportions et des couleurs.


Je travaille avec des encyclopédies, en générale la 2eme et 3eme de couverture. Dans les Larousses  c'est avec les planches en couleurs. Dans les atlas de poches c’est bien entendu avec les cartographies. Je travaille sur leur évolution comme par exemple celui de l'Afghanistan qui change sans arrêt. Je les collectionne aussi, ceux qui sont en tissus; j’en ai fabrique quelques-uns uns, la tentation est grande d’aller vers la création d un drapeau imaginaire, mais lorsqu on étudie bien on se rend comte qu il en existe une infinitude.


 On se rapproche de plus en plus de l héraldique et des symboles qui existent dans les armes de chaque nation.


Je les montre dans tous les formats possibles. Le drapeau est très lie à la mer, au vent, le fait qu il flotte au vent. Au bord ou sur la mer on devrai plutôt parler de pavillon. Il existe d ailleurs un évènement pour lequel le bateau déploie tous les drapeaux qui se trouvent à son bord il s agit du Grand Pavois. D' habitude un drapeau ça flotte c'est lyrique. 



Mais présenté ainsi on est obligé de le regarder et de comprendre  les codes basiques qui le composent.
J'ai travaille a partir de documents d' archives dont la principale source proviend d' un livre hollandais trouvé à Amsterdam.Je m' impregne, je m' informe sur l' histoire  du pays. Je m' interesse à ces signaux qui sont devenus des archétypes. Je recherche des tableaux anciens qui ont pour sujet des batailles.










Je me suis toujours intéressé au nombre à la sérialité.
La multiplication a toujours fait partie de mes préoccupations.
Je ne suis pas gêné de travailler sur le même sujet depuis des années.
En soi le drapeau est suffisant pour faire un objet d’art.
La taille du drapeau est, elle aussi importante. Petit, très grand ou, démultiplié, il prend une signification différente.





Jacques FHIMA


Wednesday, September 7, 2011

PENSEES RETROACTIVES.

Jack in the books, accessoiriste funambule d'un imaginaire en constante deflagration,
exp(l)ose son histoire dans le cours du temps, avec des elements precis et paradoxaux
qui constituent une ligne directrice invisible de la realisation constante de l'acte de vivre.

Avec une maitrise tres specifique du Bardak ambiant,  Jack in the books reussi a maintenir ses aspirations, entre modernite et memorite sans etre affecte par le temps ni meme par les vagues 
successives de la materialite abusive de l'age de fer.



















EQUILIBRE =/  ELUCUBRE

Mes elucubrations s'opposent a mon equilibre.
Mon equilibre c'est de me poser dans un lieu.
Mon elucubration c'est de Zapper, de passer d'une chose a l'autre.


PRA QUE IR TAO LONGE ?

O Rosh Hashana e aqui mesmo!
Passe O Rosh hashana com a gente,
num clima animada com muita esperitualidade,
e excelente comida.

Z: 
La lettre Z qui veut dire; il est vivant
en Grec ancien.