Since 1977

Since 1977, I have written more than 300 000 kilometers of words, that is to say put end to end, one way trip from Earth to the Moon. Or a second to light for this trip. A second light words in 30 years, some 3 billion signs.

Wednesday, November 4, 2015

MASSIVES MEMOIRES #29

MASSIVES MEMOIRES #29





Alex Gross (born August 30, 1968 in Roslyn Heights, New York) is a visual artist currently working in Los Angeles, California. He specializes in oil paintings on canvas whose themes include globalization, commerce, great beauty, dark mayhem, and the remorseless passage of time.

Alex graduated in 1990 from Art Center College of Design, in Pasadena, California. Since then, he has become established as an artist in the Pop Surrealism movement (See also lowbrow.)








The Contaflex series is a family of 35mm leaf-shuttered SLR cameras, produced by Zeiss Ikon in the 1950s and 1960s. The name was first used in 1935 on a 35mm Twin-lens reflex camera, the Contaflex TLR also by Zeiss Ikon, the -flex part in the name referring to integral mirror for the viewfinder. The first models, the Contaflex I and II have fixed lenses, while the later models have interchangeable lenses, and eventually the Contaflexes became a camera system with a wide variety of accessories.






Maria Leontievna Botchkareva (en russe : Мари́я Лео́нтьевна Бочкарёва), surnommée Yashka, née en 1889 dans le gouvernement de Novgorod et exécutée en 1920 par la tchéka à Krasnoïarsk, était une femme russe qui combattit lors de la Première Guerre mondiale et fonda le « bataillon féminin de la mort » composé exclusivement de femmes.

Le bataillon n'est engagé qu'une seule fois au front les 8 et 9 juillet 1917 à Smorgon, à 110 km au nord-ouest de Minsk. Encadré par des soldats de métier, mais les femmes-soldats paient leur inexpérience par de lourdes pertes1.

Le « bataillon de la mort » a été crée en 1917, après l’abdication du tsar, par Maria Bochkareva, une femme russe qui avait rejoint l’armée dès 1914 et grandement fait ses preuves au combat. Ce bataillon était constitué de femmes volontaires, désireuses de faire preuve de courage aux côtés des hommes. Elles étaient incorporées comme les hommes, avec le même uniforme militaire et la coupe de cheveux si caractéristique : toutes n’étaient pas tondues à ras puisque certaines gardaient juste un petit toupet en haut du crâne.





Glenn Cuzen, who runs Top Gun Tattooing studio in the Harris Arcade in Reading, attended the New York Empire State Tattoo Exhibition alongside thousands of other tattooists from around the world.
He won an award for the best backpiece, best original idea and best cover-up style for his work over the weekend July 11/12.
Glenn's wife Jade is also a tattoo artist and works alongside him in Reading.






Abu Zakaria al-Jamal (Arabic: أبو زكريا الجمال; 1959 – 3 January 2009) was a senior Hamas commander.
Abu was the second senior Hamas member to be killed in the 2008–2009 Israel–Gaza conflict after Nizar Rayan. He was killed by Israeli air strikes in Gaza on 3 January 2009. Zakaria al-Jamal was commander of Gaza City's rocket-launching squads, belonging to Hamas' military wing, Izz ad-Din al-Qassam Brigades.






David Abbott "Ab" Jenkins (January 25, 1883 – August 9, 1956) was the 24th mayor of Salt Lake City, Utah from 1940 to 1944 and was a professional race car driver. Jenkins' interest in motorsports began with racing motorcycles on dirt tracks and cross country. He then became interested in land speed records at the Bonneville Salt Flats. He was instrumental in establishing Bonneville as a location for such events, and in attracting overseas drivers such as George Eyston and Sir Malcolm Campbell to compete there.

He drove the Duesenberg "Mormon Meteor" to a 24-hour average land speed record of 135 miles per hour (217 km/h) in 1935. In 1940 Jenkins set the 24-hour record of a 161.180 mph (259.394 km/h) average that lasted for 50 years (until 1990)




On April 16, 1917, Vladimir Lenin, leader of the revolutionary Bolshevik Party, returns to Petrograd after a decade of exile to take the reins of the Russian Revolution.

Born Vladimir Ilyich Ulyanov in 1870, Lenin was drawn to the revolutionary cause after his brother was executed in 1887 for plotting to assassinate Czar Alexander II. He studied law and took up practice in Petrograd (now St. Petersburg), where he moved in revolutionary Marxist circles. In 1895, he helped organize Marxist groups in the capital into the “Union for the Struggle for the Liberation of the Working Class,” which attempted to enlist workers to the Marxist cause. In December 1895, Lenin and the other leaders of the Union were arrested. Lenin was jailed for a year and then exiled to Siberia for a term of three years.




Palestinian employees of a UN refugee agency are inciting Palestinians to commit terror attacks against Israelis from social media accounts on which they explicitly identify as United Nations workers, a report from a UN watchdog published Friday charged.

Mahmoud Abu Zakari’s Facebook page says he is a social worker with the UN agency. He changed his profile picture recently to a generic image of youth brandishing a knife.














Publié dans la collection « le fait guerrier », dirigée par Stéphane Audoin-Rouzeau, ce « journal d’une femme combattante » est un document historique d’un intérêt majeur. Les aventures guerrières de Maria Botchkareva, dite « Yashka », dont les propos avaient été recueillis par un journaliste américain en 1919, puis édités en 1923 en France, avait été depuis oubliées. Aujourd’hui rééditées, elles apparaissent comme un témoignage exceptionnel dans le cadre du front de l’Est, pendant la Grande guerre. Yashka, femme soldat, créatrice et commandante du premier bataillon féminin de l’armée russe, est un exemple inédit et original d’expérience combattante pendant la première guerre mondiale.Son témoignage, allant de 1914 à 1917,est divisé en trois grandes parties, qui découpent l’ouvrage : « guerre », « révolution » et « terreur ».

Le récit débute tout d’abord par l’engagement de Yashka, simple paysanne, abandonnant foyer et mari, par nationalisme et piété, afin de combattre au sein de l’armée russe. Après une incorporation difficile, Yashka s’impose au sein de son bataillon et partage avec ses camarades de tranchée les mêmes expériences de combat et les mêmes difficultés de la vie au front. Elle raconte alors ses actes de bravoure, lui valant honneurs et médailles mais aussi rapporte les violences produites par les gaz, les obus et les baïonnettes qu’elle affronte au combat.

Arrive alors l’année 1917 et le délitement du front de l’Est suite à la révolution de février. Une succession de scènes de guerre surréalistes sont alors évoquées. On assiste aux fraternisations entre soldats russes et allemands autour de verres de vodka ou bien aux meetings politiques pacifistes se tenant au cœur des tranchées, sur la ligne de front. Yashka, elle, atterrée par ce spectacle, veut continuer le combat. Devenue, au front et à l’arrière, une véritable célébrité, elle est alors chargée par l’état-major russe et par Kerensky, ministre de la guerre, de former et diriger un bataillon féminin. Il a pour rôle de montrer l’exemple aux combattants mâles et, par la honte qu’il susciterait chez eux, de les inciter à reprendre le combat.
Cette expérience inédite est cependant un échec lamentable. Le « Bataillon de la mort », exclusivement féminin se fait massacrer au cours de son premier assaut. Au même moment ses soutiens masculins, tenus par des comités révolutionnaires, débattent sur la possibilité ou non d’appuyer le bataillon, réglant la question par le débat et le vote, et laissant leurs camarades féminins se faire canarder.

Ce jusqu’auboutisme transforme Yashka en antibolchévique résolue, et à partir d’octobre 1917, en une antirévolutionnaire, suspecte à surveiller, aux yeux du pouvoir communiste. L’histoire se transforme alors en un récit d’aventures haletant et plein de rebondissements, amenant Yashka à rencontrer les leaders militaires de la contre-révolution, mais aussi à se confronter à Lénine et à Trotsky. Emprisonnée puis libérée, elle gagne finalement péniblement Vladivostok et s’embarque clandestinement vers les États – Unis afin d’y recueillir des fonds et des soutiens pour renverser le pouvoir bolchévique.






Compagnie les Pietons, Corps de Balai International, Les CDBI vont frapper fort dans la Rue, pour tout nettoyer de la tete aux pieds qui puent !!!




CDBI, le grand balayage. Heritiers de toutes les traditions, gestuelles, vocales sonores, nos techniciens de surface utilisent leur instrument Didjeridou du fond de leur racines Aborigenes. Le mot commun aborigène désigne plus généralement celui dont les ancêtres sont les premiers habitants connus de sa terre natale.


Caca, pipi, talisme: Mouna 1971.







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