POEMES DE TITRES

POEMES DE TITRES

Et Nicki Lauda, pas encore arrivé ? J'ai posté avant-hier la dernière carte de la série "poèmes des titres", qui compte 18 cartes postales. Vu le timbre, je me demande si elle arrivera à destination. De mon côté, n'ayant pu passer à Luceram pendant plusieurs jours (voiture au garagiste), j'en ai trouvé au moins dix des tiennes d'un seul coup et sans aucune perte. Le livre italien est bien arrivé et je t'en remercie. Je ne l'ai pas encore lu mais je ne saurais tarder à essayer de le faire, d'autant que l'Italie est en vogue dans la famille, en ce moment. Nous avons passé un week-end à Florence avec Serge et Anne... Drôle de quatuor... C'était, officiellement, pour fêter nos anniversaires. Cela nous a permis de prendre conscience (30 ans après), que la Toscane n'est qu'à quatre grosses heures de Nice en voiture ! A quel point les parents transmettent de représentations à leurs enfants ! Au fond, j'ai entretenu sans le savoir l'acculturation qui a été celle de la branche paternelle de ma famille, pour qui l'Italie était devenu un pays étranger, lointain et exotique, et je dois dépasser la cinquantaine pour m'apercevoir qu'on peut faire Nice-Florence aller-retour en voiture dans la journée... et constater que pas une de mes filles n'a appris l'italien... Mais je ne regrette pas que les choses aient pris cette tournure et je me préfère coupé de mes racines italiennes qu'avec un perpétuel "bled" mythique en tête où j'aurais passé  toutes mes vacances en dénigrant le pays où j'aurais vécu le reste du temps. Passons. En attendant, l'été prend tout tranquillement des allures d'été pourri, météorologiquement parlant. Il fait moyennement bon, encore la Côte d'azur est-elle vaguement épargnée car dans le reste du pays on a ressorti les pulls... Laura a terminé ses épreuves du bac et attend les résultats, Héloïse de son côté fait une saison en cuisine dans un restaurant du vieux-Nice et Claire est toujours aux prises avec sa philosophie, elle boucle sa maîtrise et après... Elle verra bien. Nous nous apprêtons à ce moment particulier où plus aucune d'entre elles ne sera dans notre giron, c'est-à-dire en septembre prochain, le mois de tous les dangers, cette année, à mon avis. Vous êtes loin d'en être là mais cela arrive toujours plus vite qu'on l'avait imaginé. Embrasse bien  Gaby de ma part et celle d'Isabelle, sans oublier la relève. A bientôt Michel