Daniel Joffe
Mon Pote Daniel, mon ami, mon copain,
Tu es parti sans nous quitter, le 25 mai, j’allais dire le 25 mai 1871,
Tu es tombe dans la rue, sur une autre barricade, comme si la commune etait hier,
Tu vas nous manquer mon pote Joffe, les cafards ne dansent plus pareil,
Les orchestres de grenouilles, de fabliaux et de contes se sont tus,
Ils te rendent hommage dans une pirouette, cacahuettes.
Mon ami Iconographe, Cinematographe, Bibliographe,
Cinephage, Anthroposophe, Pataphysicien…
Un des rares a ne m’avoir jamais aussi bien compris, Je veux dire, ils sont si rare
Mes amis de route, mes amis de parcours, poete Dadaiste, le poing leve.
Tu vas me manquer mon copain, tes encouragements, tes adjectifs, tes revoltes.
La rue etait silencieuse hier, comme si les dernieres balles avaient crepites…
Tu es parti hier sans nous quitter, mon pote Joffe, mon camarade artisant,
Mon ami de coeur, mon professeur, initiateur, jamais battu, jamais absent.
Ton banc reste vide, je reste ici a regarder la rue et les passants transparents
Qui te traversent.
Tes mots, tes rires, ton acharnement a dire toujours les choses comme elles sont
Et non comme elles sont bien pensees, bien pensantes.
Merci l’ami, d’etre alle jusqu’au bout, jusqu’au bout de toi meme, de nous avoir
Convaincu que tout peut etre depasse, et qu’il faut se moquer de tout, surtout de la mort.
Mon Pote Daniel, je suis si triste et si heureux de te voire enfin libere, enfin libre.
Mon pote Daniel, j’embrasse bien fort Daniela, nous la serrons tout contre nous,
Nous resterons fideles aupres d’elle, comme elle l’a ete aupres de toi.
Daniel, Dany le rouge…Je chante pour toi, de tout mon coeur de toute mon ame…
A bientot l’ami, je sais , je suis sur , un jour nous nous retrouverons.
Que le souffle de la Mer t’accompagne, Corto n’est pas loin….
Forza !
Tu es parti sans nous quitter, le 25 mai, j’allais dire le 25 mai 1871,
Tu es tombe dans la rue, sur une autre barricade, comme si la commune etait hier,
Tu vas nous manquer mon pote Joffe, les cafards ne dansent plus pareil,
Les orchestres de grenouilles, de fabliaux et de contes se sont tus,
Ils te rendent hommage dans une pirouette, cacahuettes.
Mon ami Iconographe, Cinematographe, Bibliographe,
Cinephage, Anthroposophe, Pataphysicien…
Un des rares a ne m’avoir jamais aussi bien compris, Je veux dire, ils sont si rare
Mes amis de route, mes amis de parcours, poete Dadaiste, le poing leve.
Tu vas me manquer mon copain, tes encouragements, tes adjectifs, tes revoltes.
La rue etait silencieuse hier, comme si les dernieres balles avaient crepites…
Tu es parti hier sans nous quitter, mon pote Joffe, mon camarade artisant,
Mon ami de coeur, mon professeur, initiateur, jamais battu, jamais absent.
Ton banc reste vide, je reste ici a regarder la rue et les passants transparents
Qui te traversent.
Tes mots, tes rires, ton acharnement a dire toujours les choses comme elles sont
Et non comme elles sont bien pensees, bien pensantes.
Merci l’ami, d’etre alle jusqu’au bout, jusqu’au bout de toi meme, de nous avoir
Convaincu que tout peut etre depasse, et qu’il faut se moquer de tout, surtout de la mort.
Mon Pote Daniel, je suis si triste et si heureux de te voire enfin libere, enfin libre.
Mon pote Daniel, j’embrasse bien fort Daniela, nous la serrons tout contre nous,
Nous resterons fideles aupres d’elle, comme elle l’a ete aupres de toi.
Daniel, Dany le rouge…Je chante pour toi, de tout mon coeur de toute mon ame…
A bientot l’ami, je sais , je suis sur , un jour nous nous retrouverons.
Que le souffle de la Mer t’accompagne, Corto n’est pas loin….
Forza !
Jacques Fhima, Gaby, Ella, Nina.
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